• nous avons hissé un drapeau géant à l'Ermitage d'Alès

    depuis le mois d’octobre  nous nous rassemblons chaque samedi à Alès pour manifester et montrer notre solidarité inflexible avec la Palestine

     

    en soutient à la Palestine

     

    en soutien à la Palestine

    https://drive.google.com/file/d/1ALXfej6zjsR9BkcvWDG8hzFFh4RIyRNU/view?usp=sharing

     


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  • https://www.mediapart.fr/journal/international/250224/bande-de-gaza-ce-sont-des-heros-malgre-eux-mais-ils-sont-en-train-de-mourir

     

     

    Bande de Gaza : « Ce sont des héros malgré eux, mais ils sont en train de mourir »

    Pascal André, médecin, est de retour de l’hôpital européen de Khan Younès, dans le sud de l’enclave palestinienne. À travers des témoignages audios enregistrés sur place, il documente la détresse absolue de médecins palestiniens. Mediapart les diffuse en même temps que son interview.

     

    Les yeux cernés, le visage creusé, Pascal André, urgentiste et infectiologue, est parti le 5 février afin de faire le point, pour l’association Palmed, sur la situation infectieuse dans la bande de Gaza, anéantie par plus de quatre mois de guerre.

    « Il n’y a pas de savon disponible et pas d’eau non plus pour prendre une douche avant l’intervention. Il y a encore du gel hydroalcoolique, mais il est utilisé pour allumer des feux, pour se chauffer et faire cuire la nourriture. Les gens n’ont plus rien et trois bouts de bois, ça coûte plus d’un dollar. » 

    Ce médecin est parti avec une vingtaine d’autres confrères, des chirurgiens, des anesthésistes, des urgentistes. « Les salles d’opération débordent, l’activité est multipliée par quatre. Du jamais-vu, même pour des collègues spécialisés dans la traumatologie de guerre depuis plus de quarante ans. »

    Il faut que l’on se rappelle que nous sommes tous humains.

    Pascal André

    Ces conditions de travail, de vie, il les a immortalisées dans une cinquantaine d’audios, mais aussi en vidéo et en photographies, déjà publiés par Mediapart (voir en lire aussi). « Les journalistes internationaux ne peuvent pas se rendre sur place, les journalistes gazaouis qui continuent de faire leur métier sont ciblés. J’en ai reçu deux à l’hôpital européen, dans un état dramatique, qui venaient d’être ciblés par des tirs. » 

    Pour Pascal André, la couverture médiatique en France n’est pas à la hauteur de ce dont il a été témoin : « Il est temps d’ouvrir nos oreilles à d’autres narrations que la narration unique qui nous est proposée. Il faut que l’on se rappelle que nous sommes tous humains, nous sommes tous les mêmes, quelle que soit notre couleur de peau ou notre religion. » 

    À son micro, les médecins palestiniens décrivent leurs conditions de travail, leur fatigue après quatre mois à être déplacés du nord vers le sud, à opérer à tour de bras sans dormir, sans nourriture, sans eau, sans salaire, et à essayer de continuer de prendre soin des autres. « Un anesthésiste local m’a dit : “Là, j’endors cet homme et en même temps je me demande ce que je vais faire avec mes quatre filles, comment je vais les protéger. J’ai déjà perdu ma femme et un fils.” »

    Avec un autre membre de l’équipe, il a aussi pu se rendre à Rafah, où il a visité la dernière maternité de l’enclave et le service de néonatologie. Une ville surpeuplée de 1,4 million de réfugié·es, selon l’ONU, qui est régulièrement bombardée ces derniers jours et menacée d’assaut par le premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, si le Hamas ne libère pas les otages d’ici le 11 mars, date du début du ramadan. « On se dirige vers une nouvelle Nakba [la « catastrophe » en arabe, par référence à l’exode en 1948 de centaines de milliers de Palestinien·nes hors de la Palestine mandataire – ndlr] », estime le médecin humanitaire, qui espère retourner en mission d’ici une quinzaine de jours, « même si ça semble compliqué, au vu de [s]a prise de position. Pas sûr qu’Israël [l]e laisse re-rentrer ».

     

    Bérénice Gabriel et Camille Busquets

    25 février 2024 à 17h05

     

     


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    qu'il faut agir pour stopper le génocide

     

     http://www.eccpalestine.org/


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  • Dans le cimetière à ciel ouvert qu’est devenue la bande de Gaza, reposent les âmes de plusieurs dizaines de journalistes, tués en bravant le blocus médiatique imposé par Israël depuis le 7 octobre 2023. On sait peu de choses d’eux, à part leur nombre et leur attachement inébranlable à leur mission d’information. En rassemblant des fragments de vie, Mediapart a tenté de reconstituer leurs histoires. Afin que l’on se souvienne d’eux, pas seulement par leur nombre, mais aussi par leur nom, leur visage, leur destin.

     

     

    https://www.mediapart.fr/studio/panoramique/journalistes-gaza-les-visages-du-carnage

     

     


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    « Pour étouffer par avance toute révolte, il ne faut surtout pas s’y prendre de manière violente. Les méthodes archaïques comme celles d’Hitler sont nettement dépassées. Il suffit de créer un conditionnement collectif en réduisant de manière drastique le niveau et la qualité de l’éducation, pour la ramener à une forme d’insertion professionnelle.

     

    Un individu inculte n’a qu’un horizon de pensée limité et plus sa pensée est bornée à des préoccupations matérielles, médiocres, moins il peut se révolter. Il faut faire en sorte que l’accès au savoir devienne de plus en plus difficile et élitiste... que le fossé se creuse entre le peuple et la science, que l’information destinée au grand public soit anesthésiée de tout contenu à caractère subversif.

    Là encore, il faut user de persuasion et non de violence directe : on diffusera massivement, via la télévision, des divertissements abrutissant, flattant toujours l’émotionnel, l’instinctif.

     

    On occupera les esprits avec ce qui est futile et ludique. Il est bon avec un bavardage et une musique incessante, d’empêcher l’esprit de s'interroger, penser, réfléchir. »

     

    « On mettra la sexualité au premier rang des intérêts humains. Comme anesthésiant social, il n’y a rien de mieux. En général, on fera en sorte de bannir le sérieux de l’existence, de tourner en dérision tout ce qui a une valeur élevée, d’entretenir une constante apologie de la légèreté ; de sorte que l’euphorie de la publicité, de la consommation deviennent le standard du bonheur humain et le modèle de la liberté »

     

    Günther Anders

    L’obsolescence de l’homme, 1956.

     

    Günther Anders 1902-1992 était philosophe , conjoint  de Hanna Harendt de 1929-1937

     


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  • https://www.canopee.ong/


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  • Le directeur du Bureau de New York du Haut-Commissariat aux droits de l'homme, Craig Mokhiber, a annoncé, mardi soir, sa démission de son poste, en signe de protestation contre «l'impuissance de l'ONU à arrêter le génocide» que commet l'entité sioniste contre les Palestiniens dans la bande de Ghaza et la Cisjordanie occupée et la «complicité» de plusieurs États avec l'occupant.»Ce sera ma dernière communication officielle avec vous en tant que directeur du Bureau de New York du Haut-Commissariat aux droits de l'homme. J'écris à un moment de grande angoisse pour le monde, y compris pour nombre de nos collègues. Une fois de plus, nous voyons un génocide se dérouler sous nos yeux, et l'Organisation que nous servons semble impuissante à l'arrêter», a écrit M. Mokhiber dans une lettre adressée au Haut-Commissaire, Volker Turk.»Ayant enquêté sur les droits de l'homme en Palestine depuis les années 1980, vécu à Ghaza en tant que conseiller des droits de l'homme de l'ONU dans les années 1990 et mené plusieurs missions de défense des droits de l'homme dans le pays avant et depuis, cela me touche profondément», a, en outre, écrit le désormais ex-responsable onusien des droits de l'homme. Précisant qu'il est avocat spécialisé dans les droits de l'homme avec plus de trois décennies d'expérience dans le domaine, M. Mokhiber a noté que bien que le concept de génocide fait souvent l'objet d'»abus politiques», le gouvernement et l'armée sionistes «ne laissent aucune place au doute ou au débat».»A Ghaza, des habitations civiles, des écoles, des églises, des mosquées et des établissements médicaux sont attaqués sans motif tandis que des milliers de civils sont massacrés. En Cisjordanie, y compris à El-Qods occupée, les maisons sont saisies et réaffectées uniquement sur la base de la race, et de violents pogroms de colons sont accompagnés par des unités de l'armée (sioniste). Partout dans le pays, l'apartheid règne», a-t-il dénoncé. Pour le défenseur des droits de l'Homme, ce qui se passe dans les territoires palestiniens «est un cas d'école de génocide», affirmant que «le projet colonial européen, ethno-nationaliste, en Palestine est entré dans sa phase finale, vers la destruction accélérée des derniers vestiges de la vie palestinienne indigène en Palestine». Selon lui, «les gouvernements des États-Unis, du Royaume-Uni et d'une grande partie de l'Europe sont entièrement complices de cet horrible assaut» au mépris des Conventions de Genève.


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  • Dabke palestino

    16 nov. 2021 Fundación Palestina Belén 2000

     

    et maintenant où sont-ils ? et que reste t-il ?

     

     

    israelis against Apartheid

    le blog de médiapart

     

    Alors que le nombre de victimes civiles palestiniennes à Gaza s'élève à près de 9 000 et que l'on craint que plus de 1 000 d'entre elles ne soient piégées sous les décombres, l’appel du groupe Israelis Against Apartheid https://blogs.mediapart.fr/israelis-against-apartheid adressé à la CPI souligne la demande d'intensifier la pression et de mettre rapidement un terme à l'impunité à l'appareil de guerre israélien en faisant usage des moyens juridiques de la Cour.

     
     

     

     
     

                                        2 novembre 2023

     

    Plusieurs membres d’Israelis Against Apartheid, un groupe de 1500 personnes, ont envoyé un appel urgent à Karim A. A. Khan, procureur de la CPI, pour une intervention internationale immédiate afin d'arrêter le massacre à Gaza. Dans la lettre iels déclarent que "pour la sécurité et l'avenir des Israélien.ne.s et des Palestinien.ne.s, tous les éléments du droit international qui protègent les vies des civils doivent être appliqués".

     L'appel décrit des cas d'incitation au génocide de la part des autorités israéliennes, de personnalités publiques et de journalistes, et exhorte l'organe juridique international à "prendre des mesures accélérées contre l'escalade des crimes de guerre israéliens et le génocide du peuple palestinien".

    Alors que le nombre de victimes civiles palestiniennes à Gaza s'élève à près de 9 000 et que l'on craint que plus de 1 000 d'entre elles ne soient piégées sous les décombres, l’appel du groupe Israelis Against Apartheid adressé à la CPI souligne la demande d'intensifier la pression et de mettre rapidement un terme à l'impunité à l'appareil de guerre israélien en faisant usage des moyens juridiques de la Cour.

    La lettre exige la délivrance immédiate de mandats d'arrêt à l'encontre des responsables politiques et militaro-sécuritaires israéliens qui commettent des crimes de guerre et des crimes contre l'humanité, et demande d'accélérer urgemment les enquêtes criminelles sur les crimes de guerre en cours. "Les crimes de guerre israéliens sont systématiques, continus et en augmentation. Des preuves claires et bien documentées ont été soumises à votre bureau depuis des années. Nous vous demandons instamment de prendre des mesures immédiates et concrètes".

    La lettre au procureur est disponible ici https://jews4decolonization.wordpress.com/a-letter-to-the-icc-prosecutor-from-israeli-jews-for-decolonization/.

    Un.e membre du groupe a expliqué : "Nous avons travaillé sur cette lettre pendant plus d'une semaine, mais nous avons fait face à la difficulté de l'actualiser tant l'horrible réalité sur le terrain à Gaza et les appels de plus en plus flagrants au génocide et au nettoyage ethnique en Israël n'ont cessé de s'accélérer". Un.e autre a ajouté que "le monde occidental est complice en ayant permis à Israël de poursuivre pendant des décennies son occupation illégale, son racisme et son blocus de la population palestinienne. Ils savent très bien ce qui se passe et choisissent d'ignorer la lutte des Palestinien.ne.s pour la liberté et la justice. Cette situation est inacceptable et a coûté la vie à de nombreux.ses Palestinien.ne.s et Israélien.ne.s. Elle a également contribué à la détérioration continue d'Israël en un régime d'apartheid violent". En deuil des Israélien.ne.s qui ont été tués et capturés, elle ajoute : "Je considère les victimes israéliennes comme des victimes de cette oppression permanente. La cruauté et les abus continus sont un terrain fertile pour des représailles violentes et cruelles.

    Toutes les initiatives palestiniennes non violentes, telles que le BDS ou la Marche du retour, ont été ignorées et qualifiées par Israël d’extrémistes, voire de terroristes, en dépit de leur nature non violente. En outre, Israël ne fait pas de distinction entre les attaques légitimes contre les soldats d'une force d'occupation et les attaques contre des civils, en les considérant toutes deux comme des actes de terrorisme".

    Elle termine par une étincelle d'espoir dans le ton général de désespoir en disant : "Cela devrait être un signal d'alarme pour toutes et tous. Nous devons trouver une nouvelle voie qui assurera la liberté, la justice et la sécurité pour toutes et tous ! 

     

     

     

     


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    https://www.humanite.fr/monde/guerre-israel-hamas/francesca-albanese-rapporteuse-speciale-de-lonu-il-faut-arreter-la-furie-et-la-rage-disrael

     

     https://blog.mondediplo.net/catalyse-totalitaire

     

    https://www.monde-diplomatique.fr/carnet/2023-10-10-Gaza

     

    et tant d'autres encore ... pour enfin apprendre ce qu'il se passe vraiment ici,  là bas et ailleurs en dehors de nos médias devenus toxiques à force de mensonges


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  • https://www.humanite.fr/en-debat/bande-de-gaza/israel-palestine-appel-du-monde-de-la-culture-pour-un-cessez-le-feu-immediat-a-gaza

     

    93 artistes lancent un vibrant plaidoyer en faveur de la paix au Proche-Orient au nom de « notre humanité commune ». Après des décennies d’occupation qui hypothèquent la vie et la sécurité des peuples - israélien et palestinien-, les signataires en appellent à la raison et plaident pour « un cessez-le-feu immédiat et inconditionnel, la libération de tous les otages détenus à Gaza, et le respect du droit international ».

     

     

    POUR UN CESSEZ-LE-FEU IMMÉDIAT À GAZA

    Nous nous rassemblons en tant qu’artistes face à la tragédie en cours. Nous sommes choqués par la perte de toutes ces vies, si précieuses, en Israël/Palestine. Et nous en sommes témoins.

    Nous avons été horrifiés par les massacres du 7 octobre.

    Nous condamnons tous les crimes de guerre, ceux du Hamas et ceux du gouvernement israélien. Nous pensons que l’oppression et le racisme, sous toutes leurs formes, sont un affront fait à notre humanité commune : il faut y mettre fin.

    Aujourd’hui, des décennies d’occupation privent les Palestiniens de leurs libertés et de leurs droits fondamentaux. Déplacer des centaines de milliers de personnes de leur foyer — certaines pour la deuxième ou troisième fois  — serait une nouvelle injustice catastrophique ; elle nous éloignerait, en prime, de la possibilité d’une paix juste et durable, de la sécurité pour les deux peuples. Cela ne peut pas se produire.

    Nous soutenons tous ceux qui appellent à un cessez-le-feu immédiat et inconditionnel afin de sauver autant de vies que possible et de permettre à l’aide humanitaire d’atteindre les habitants de Gaza, lesquels en ont désespérément besoin.

    Nous appelons à la libération de tous les otages détenus à Gaza.

    Nous appelons tout le monde à respecter le droit international, qui interdit de porter atteinte aux civils — quel que soit le contexte. Tous les gouvernements doivent cesser de soutenir les graves violations du droit international et d’armer leurs auteurs.

    Par-delà la douleur et le deuil, nous sommes mus par la volonté inébranlable de défendre notre humanité commune, la liberté, la justice, l’égalité des droits, la paix et la dignité pour tous les peuples. Comme nous sommes mus par un profond désir de mettre un terme à l’effusion de sang.

    Nous ne serons jamais libres tant que nous ne le serons pas tous.

     


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    L’Association France Palestine Solidarité proteste avec la plus grande vigueur contre l’arrêté d’expulsion pris par le ministre de l’Intérieur contre Mme Mariam Abudaqa.

    Mariam Abudaqa est une grande personnalité palestinienne, connue et respectée pour ses engagements. Dans l’environnement difficile de la Bande de Gaza, elle est une infatigable combattante des droits des femmes et un soutien indéfectible aux prisonnières politiques palestiniennes. Elle préside aujourd’hui le conseil d’administration de l’association féministe « Palestinian Development Women Studies Association ».

    À l’invitation d’un collectif marseillais et de plusieurs associations dont l’AFPS, elle effectue une tournée en France, où elle vient pour la première fois, dans plus de quinze villes. Elle a obtenu un visa en bonne et due forme pour sa tournée. Ses engagements associatifs et politiques sont publics.

    Depuis le début de sa tournée, ses conférences ont fait l’objet, de la part de la préfecture, de plusieurs mesures d’intimidation ou d’interdiction. A Marseille même, sa conférence avait été finalement déplacée dans une salle paroissiale, qui lui avait réservé un accueil particulièrement chaleureux.

    Mariam Abudaqa et sa famille résident à Gaza. Elle vient de perdre 27 membres de sa famille dans les bombardements israéliens. Elle continuait sa tournée avec un courage admirable, tout en étant particulièrement bouleversée par les informations qui lui arrivaient de la Bande de Gaza.

    En voulant la faire taire, le ministre de l’Intérieur commet non seulement une faute politique, mais un acte particulièrement inhumain qui fait honte à la France.

    Elle a été arrêtée à la gare de Marseille alors qu’elle prenait le train vers Toulouse, sa prochaine étape. Elle est actuellement en résidence surveillée. Des recours vont être déposés pour contester ces décisions iniques, qui viennent s’ajouter à la longue liste des mesures prises par le gouvernement français pour tenter de faire taire les voix du peuple palestinien et de celles et ceux qui défendent leurs droits.

    Le Bureau national de l’AFPS, le 16 octobre 2023

     

    UJFP : Union Française Juive pour la Paix

     


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  • Simon Assoun du Collectif Juifs décolonial Tsedek, être Juif et soutenir la Palestine

     

     

     

    aux quatre coins du monde  les manifestations au soutien de la Palestine se multiplient


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